LinkedIn ne veut plus être le petit outil sympa qu’on utilise entre deux cafés.
Non, il vise plus haut : devenir l’incontournable gourou de la pub digitale.
Et pour te prouver qu’il est sérieux, il a revu de fond en comble son Campaign Manager.
Peut-être que cette fois, tu arrêteras enfin de dilapider ton budget pub comme si c’était des confettis.
Une vue 360° sur les interactions : “Companies” débarque
Qu’est-ce que c’est ?
Bye-bye “Company Engagement”, bonjour “Companies”, une version enrichie qui te montre comment les entreprises interagissent avec ta marque.
Maintenant, tu as accès à des données organiques, payantes et même des filtres avancés.
C’est un peu comme passer d’un polaroid à une caméra 4K.
Pourquoi c’est utile ?
Grâce à cette nouveauté, tu peux analyser l’engagement des entreprises cibles (faible, moyen, élevé, très élevé).
Et mieux encore, tu peux sauvegarder ces audiences pour tes futures campagnes.
Bref, fini les rapports à moitié utiles et bienvenue à la chirurgie du ciblage.
Si tu es du genre à aimer les chiffres, prépare-toi à un festival de données en Dolby Surround.
L’astuce de la maison :
Pense à exporter ces rapports pour les partager avec tes équipes.
Parce qu’un super rapport oublié dans un coin, c’est comme un post LinkedIn sans likes : inutile.
“Data-Driven Attribution” : enfin un antidote aux suppositions
Ce que cela change
Oublie le modèle d’attribution du dernier clic, ce dinosaure du marketing.
Avec cette nouveauté, chaque étape qui mène à une conversion est analysée. Oui, même ce vieux PDF que tu pensais ringard peut enfin avoir son moment de gloire.
Pourquoi c’est important ?
Parce que tes campagnes, ce n’est pas “un pour tous et tous pour un”. Chaque effort compte, et ce modèle te permet d’identifier les vraies stars de ta stratégie.
En gros, tu sauras si ton e-book est un héros silencieux ou juste un figurant de luxe.
Le conseil agaçant mais sincère :
Ne deviens pas un esclave des chiffres.
C’est en effet tentant d’analyser tout, mais n’oublie pas que trop d’analyse tue l’analyse.
Prends du recul avant de te noyer dans un océan de données.
“Measurement Insights” : finis les casse-têtes de données
Le concep”
Tout, absolument tout, est centralisé dans la section “Measurement Insights”.
Tes données membres, campagnes, formats d’annonces… tout est là, rangé comme un dressing Marie Kondo.
Pour qui ?
Pour les marketeurs qui en ont marre de chercher leurs rapports comme si c’était des chaussettes perdues dans la machine.
Ici, tout est clair et accessible, même pour les plus allergiques aux tableaux Excel.
Le bonus caché :
Cette vue d’ensemble te permet d’ajuster tes campagnes sans avoir à jongler entre 36 onglets.
Oui, LinkedIn vient peut-être de résoudre le casse-tête du multitâche. Enfin.
“Qualified Leads Optimization” : plus de temps perdu avec des contacts bidons
Comment ça marche ?
En connectant ton CRM à LinkedIn, tu peux partager des exemples de leads qualifiés.
Ensuite, l’IA se charge de trouver des prospects similaires et ajuste tes campagnes en conséquence.
C’est comme filer un échantillon de parfum à une IA et la laisser créer une gamme complète.
L’avantage clé
Moins de leads inutiles, plus de conversions.
En clair, LinkedIn devient ton GPS marketing : il te montre la bonne route et t’évite les détours coûteux.
Petit rappel irritant mais utile :
Ce que j’en dis : LinkedIn joue son va-tout publicitaire
Avec ces nouveautés, LinkedIn montre qu’il ne rigole plus.
C’est désormais la fin des budgets pub qui partent en fumée sans retour sur investissement.
La plateforme muscle son jeu avec des outils basés sur l’intelligence artificielle et des fonctionnalités conçues pour optimiser chaque centime dépensé.
La hausse de 36 % des vidéos immersives cette année prouve que les utilisateurs répondent de plus en plus au contenu de qualité.
Mais rappelons-le, même les meilleurs outils ne font pas de miracles.
Le succès de tes campagnes dépendra toujours de ta capacité à stratégiser, tester et analyser avec méthode.
Bref, LinkedIn te tend une boîte à outils en or.
Mais comme dirait votre grincheux adoré (moi) : “Encore faut-il savoir s’en servir.”